Malgré l'experience que j'ai acquis depuis de 2 ans je reste vraiment insatisfait, voir frustré de ne pouvoir maîtriser complètement cet exercice de style. Je n'ai d'ailleurs jamais réussi à contrôler un un générique de bout en bout. Ça reste complètement illusoire et le temps joue contre moi car je ne pourrais bientôt plus m'entrainer et jouer comme j'en ai le temps actuellement.
Il y a 2 points importants particulièrement difficile à assimiler : La mémorisation topologique globale de la zone de jeu ainsi que la vitesse de d'assimilation des perturbations induites à chaque forme ajoutée.
Bien qu'il est reconnue et accepté que plus la pile est plate, moins la mémorisation des perturbations est difficile, il est également à noté que la rémanence interagi très positivement à grande vitesse (encore faut t'il que le sujet en ai les capacités).
Toutefois jusqu’à présent, j'ai toujours utilisé une méthode empirique de mémorisation globale de la zone de jeu, en tentant de conserver une image mentale de la surface des 9 colonnes les plus à gauche mais avec les résultats mitigés que je connais. Cela ne se limite pas simplement à de la pure analyse en temps réel car certains placements arbitraires apparaissent sécurisés et/ou laisse une configuration familièrement mémorisables, et sont donc répétés en conséquence.
Il m’apparaît que mémoriser mentalement la surface dans son ensemble reste trop consommatrice d'énergie, d'ou une tentative de décomposition de la zone de jeu et factorisation de l'information comme on peut le voir sur cet aperçu :
La dernière vignette montre une factorisation extrème en 2 traits. Finalement il se dégage 60 configurations "essentielles" (18 de bases et 42 dérivés).
Il faut maintenant tester les différentes possibilités de décompositions de l'information :
comme pour un numéro de téléphone comme "0123456789", qu'elle est la méthode mémotechnique la plus efficace :
- 01.23.45.67.89
- (0)123-456-789
- 01-2345-6789
Des réponses dans un prochain épisode avec mention "testé et approuvé" !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire